Peaux (2005)
Une partie du corps est choisie en vue d’être dessinée au crayon dans ses moindres détails, frénétiquement.
La tâche est ardue : tenter de saisir l’insaisissable. Sur le vif, chercher l’hyperréalisme du grain de peau, dans les plissures visibles à l’œil. Aborder le réel en constatant que l’on s’y dissout, c’est un point départ.
Crayon sur papier 70/ 50 cm